Il y a péril en la demeure pour le secteur de la formation. Avec des commandes publiques en baisse et des dispositifs moins financés, c’est l’ensemble des organismes qui se retrouvent bousculés. Notamment ceux relevant du secteur non lucratif qui se positionnent essentiellement sur les marchés des publics les plus éloignés de l’emploi. Entretien avec Philippe Genin et Muriel Pécassou, président et vice-présidente du Synofdes qui adressait, mi-décembre, un courrier au nouveau Premier ministre pour tirer la sonnette d'alarme.
ASH : Les organismes de formation sont confrontés à une commande publique en baisse, notamment pour les demandeurs d’emploi. Quel est l’état des lieux à ce stade ?
Muriel Pécassou : Les organismes de formation adhérents du Synofdes intervien
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