« Les jeunes de 18 à 25 ans sont les premières victimes des effets de la crise. Beaucoup d’entre eux sont privés des petits boulots et doivent vivre sans ressources. Cette situation les fragilise et rend difficile leur accès à l’autonomie », constate Sadek Deghima, responsable du service de prévention spécialisée pour l’association Avenir des cités, implantée à Harnes (Pas-de-Calais). En effet, le blocage de l’économie lié à l’épidémie de Covid-19 qui perdure génère pour la jeunesse de multiples conséquences, tant professionnelles que sociales. Alors que de nombreux contrats à durée déterminée, signés par des jeunes adultes, n’ont pas été renouvelés et que les activités de certains secteurs comme ceux de l’hôtellerie ou du tourisme ont sensiblement baissé, l’augmentation de la précarité est significative. Pour illustration, la hausse des première
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