Si la pandémie a rendu encore plus criants les besoins de compétences du secteur sanitaire, social et médico-social, les différents acteurs sont en tous les cas bien décidés à ne pas rester l’arme au pied… Car si nul ne conteste l’importance accordée à la formation des salariés et à la mise en avant des diplômes d’Etat, véritables sésames pour exercer nombre de professions, ils ne peuvent plus être les seuls leviers sur lesquels s’appuyer : trop longs, trop rigides, ils sont un frein à l’embauche comme à l’évolution de carrière au moment où les employeurs vont devoir séduire un public nouveau qui n’entend pas faire du surplace pendant toute sa vie professionnelle. « Il va aussi falloir affronter la digitalisation et prendre la mesure de l’évolution des pratiques en raison de l’automatisati
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