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Formation en travail social : comment combattre le blues (1/4)

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Christophe Verron, directeur de l'Association régionale des instituts de formation en travail social (Arifts), mise sur l’accompagnement personnalisé pour remettre si nécessaire les étudiants à niveau.

Crédit photo Armandine Penna
[ENQUETE] Assurer la relève des futurs professionnels est devenu un défi majeur. Entre manque de visibilité, carence de financements et évolution des profils étudiants, les acteurs du secteur s’interrogent : comment attirer et retenir les futurs travailleurs sociaux ?

Un soleil éclatant s’abat sur les rayonnages débordant d’ouvrages et de magazines en tous genres. Il règne un calme olympien dans la vaste bibliothèque fièrement dressée à l’avant de l’Association régionale des instituts de formation en travail social (Arifts), telle la proue d’un navire. En ce milieu de matinée, les étudiants ont déserté les lieux pour rejoindre leurs salles de cours, où ils sont désormais attentifs, assis en rangs d’oignon, face à leurs enseignants. Pour la plupart d’entre eux, ils ont entre 18 et 20 ans, si l’on en croit leur apparence juvénile. « Les profils se rajeunissent », confirme Christophe Verron, directeur de ce centre de formation situé à côté de Nantes (Loire-Atlantique). « Des adulescents », renchérit Nathalie Delattre qui, bien qu’exerçant à des centaines de kilomètres de là, partage ce consta

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