Devant les sénateurs, la ministre des Solidarité et de la Santé a évoqué l’idée de "neutraliser les effets négatifs" de la réforme tarifaire pour les établissements perdants pendant "un an ou deux".
Auditionnée mercredi après-midi par la commission des affaires sociales du Sénat, Agnès Buzyn a présenté un bilan plus sombre qu’auparavant de la réforme de la tarification des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).Lancée au 1er janvier 2017, sous la précédente majorité, cette réforme met notamment en place une convergence progressive des tarifs "dépendance" des EHPAD entre 2017 et 2023, pour qu’ils se rapprochent du résultat d’une équation. C’est sur ce point que "le bât blesse", a constaté la ministre des Solidarités et de la Santé.
"Le gouvernement précédent n’avait pas pu faire d’étude d’impact…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?