La multiplication des rapports sur le vieillissement de la population française et l’insuffisance des moyens déployés pour y faire face ont de quoi donner des sueurs froides au gouvernement. Après le Parlement, qui vient de voter une loi sur le bien vieillir qui, de l’aveu même de ses conceptrices, ne suffira pas à satisfaire les besoins à venir si l’Etat n’y adjoint pas les moyens financiers nécessaires, et le Cese (Conseil économique, social et environnemental), qui dans la foulée a rendu un avis appelant à une nouvelle politique
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