Actualités sociales hebdomadaires : Tout le monde peut-il être victime de Twitter comme vous l’avez été ?
Samuel Laurent : Tout le monde, peut-être pas. On est d’autant plus frappé que l’on est un peu connu. Encore que, aujourd’hui, cela arrive à des anonymes. C’est un réseau qui pardonne peu et le phénomène tend à s’aggraver. La culture de la dénonciation, ou « cancel culture », se généralise. Si vous exprimez quelque chose qui déplaît à un groupe constitué, il vous tombe dessus en masse. Avec Twitter, il est très facile de multiplier les attaques, sans forcément se rendre compte d’ailleurs que l’on représente un individu parmi 1 000 à s’acharner sur la même personne. Je l’ai vécu tout au long de ma carrière, avec une montée en puis
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