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La crise sanitaire a porté atteinte aux droits des personnes privées de liberté

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Prisons, centres de rétention administrative, centres éducatifs fermés… Un rapport de la contrôleure générale des lieux de privation de liberté dénonce les manquements aux droits des personnes privées de liberté pendant le confinement.

Publié le 2 juillet, le rapport « Les droits fondamentaux des personnes privées de liberté à l’épreuve de la crise sanitaire » d’Adeline Hazan, contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), est formel : pendant la crise sanitaire, les droit des personnes privées de liberté ont été bafoués. L’analyse des lieux contrôlés entre le 17 mars et le 2 juin indique que « la prolongation des détentions provisoires de plein droit sans examen par le juge est la plus grave des atteintes portées aux droits des personnes privées de liberté ». Durant cette période, les détenus n’ont plus été présentés devant le juge de l’application des peines, le juge des libertés et de la détention ou le juge des enfants.

En ce qui concerne les établissements pénitentiaires, la CGLPL admet la baisse significative de la population

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