Qu’ils soient pris en charge par l’ASE, bénéficiaires d’aides financières ou logés dans des foyers de jeunes travailleurs, les jeunes en situation de vulnérabilité font face à une multiplicité de dispositifs d’aides qui manquent souvent de lisibilité et de coordination. Pour appréhender les effets de ce « millefeuille », l’Injep a organisé une conférence-débat le 13 septembre.
« Au moment où la garantie jeune s’est mise en place, nous nous sommes aperçus que ceux qui entraient dans le dispositif avaient souvent été pris en charge par d’autres dispositifs auparavant, et enchaînaient sur des dispositifs encore différents à leur sortie », explique Julie Couronné, chargée d’études et de recherche à l’Injep (Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire) et qui a coordonné, avec le professeur de sociologie François Sarfati, le dernier numéro…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?