Les critiques pleuvent au lendemain de la présentation de la nouvelle stratégie gouvernementale de lutte contre la prostitution, le 2 mai, par la ministre chargée de l’égalité entre les hommes et les femmes Aurore Bergé. Très attendue, la phase 2 de la loi du 13 avril 2016 (visant à renforcer la lutte contre le système prostitutionnel et à accompagner les personnes prostituées) réitère la posture « abolitionniste » de la France. Selon plusieurs associations, ces annonces dévoilent surtout un manque de moyens patent. Et ce, alors que les chiffres font état de 40 000 personnes, dont 30 % de mineurs, en situation de prostitution.
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Prévenir l’exploitation des mineurs
Le nouveau volet législatif s’articule autour de 12 enjeux :
- Faire des commissions départementale
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