Depuis la loi de réforme pour la justice du 23 mars 2019, la détention ne constitue plus la réponse centrale du système répressif et les peines alternatives doivent être privilégiées quand les conditions sont réunies. Parmi elles, le travail d’intérêt général (TIG) et la détention à domicile sous bracelet électronique (DDSE), qui concernaient respectivement 22 000 et 18 000 personnes en avril 2024. Avec quelle efficacité ces mesures sont-elles mises en place ? La Cour des comptes s’est saisie de cette question dans un rapport, publié le 4 mars, qui souligne quatre enseignements principaux.
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- Ces deux peines alternatives à la prison
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