A l'heure actuelle, impossible de savoir exactement combien de mineurs en âge d'être scolarisés sont enfermés. Pour autant, un avis du contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), publié le 31 janvier, alerte sur leurs difficultés à suivre un enseignement digne de ce nom et suggère qu'une loi prenne le problème à bras-le-corps afin de préparer au mieux leur résinsertion.
En France, l’école est obligatoire jusqu’à 16 ans. Un principe qui concerne aussi les mineurs privés de liberté, d’autant plus crucial « que la majorité d’entre eux arrivent dans les lieux d’enfermement en grande difficulté scolaire, au milieu de vies chaotiques et bouleversées », rappelle le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGPL) dans un avis sur l’accès des mineurs enfermés à l’enseignement, rendu public le 31 janvier. Un enseignement…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?