Dissolution de l’Assemblée nationale ou pas, la réforme de l’assurance chômage aura bien lieu. Les annonces d’Emmanuel Macron au soir du 9 juin ont beau avoir suspendu le calendrier des travaux d’un « acte 2 » des réformes du marché du travail – que le gouvernement de Gabriel Attal avait initialement planifié pour l’automne prochain –, les syndicats de salariés en seront pour leurs frais. Ils auraient pu espérer que l’actualité politique offre un sursis aux demandeurs d’emploi menacés par le durcissement de leurs conditions d’indemnisation. Le projet du futur décret, qui doit venir mettre en musique les nouvelles règles de l’assurance
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