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À Saint-Denis, les migrantes séropositives trouvent refuge chez Ikambere (6/8)

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Tous les mardis, Ikambere organise des ateliers de socio-esthétique. 

Crédit photo illustration Ikambere
[ENQUÊTE] Précarité, exil et maladie : l'association dionysienne s'attaque à la triple peine dont sont victimes les femmes vivant avec le VIH.

Au Rwanda, « Ikambere » signifie « la maison accueillante ». Un lieu central, où les habitants de village trouvent refuge et se réunissent pour créer du lien. Telle est aussi la philosophie de l’association Ikambere, créée par Bernadette Rwegera en 1997 à Saint-Denis avec l’objectif de permettre à des femmes en situation de précarité vivant avec le VIH de se rencontrer entre paires. Très vite, le partage d’expérience ne suffit plus et vient s’ajouter l’essentiel de ce qui constitue l’activité de l’association aujourd’hui : un programme d’accompagnement global et pluridisciplinaire.

Ikambere met en application les principes de la pyramide de Maslow qui propose une hiérarchie des besoins humains. Ainsi la prise en charge proposée permet d’abord de satisfaire les besoins urgents (mise à l’abri par le financement de nuitées hôtelières, mise en sécurité, régularisation, prise de traitements) puis ceux de l’accomplissement (activité physique adapt

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