Entre 80 et 90 % de perte d’activité. Voilà, selon Luc de Gardelle, président de la Fédération des entreprises d’insertion (FEI), ce qu’ont coûté la crise sanitaire et les deux mois de confinement au secteur de l’intérim d’insertion et aux associations intermédiaires : « La mise à disposition de salariés a été le secteur le plus touché », résume-t-il. Cette perte d’activité aura des conséquences sur l’accompagnement des personnes en insertion ou en situation de handicap. Du moins à en juger par l’enquête menée par l’Union nationale des entreprises adaptées (Unea). Elle pointe qu’au sein des 378 structures répondantes (soit près de la moitié des entreprises agréées en tant
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