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Secret professionnel à domicile : la frontière mouvante de l’intime

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Crédit photo Pavo
Non soumises au secret professionnel, les auxiliaires de vie ont seulement un devoir de discrétion. Il repose davantage sur leurs qualités personnelles que sur une charte déontologique bien établie.

Si le huis-clos du domicile représente de manière intrinsèque un cadre flou pour les professionnels des services à la personne – ils doivent sans cesse composer avec la frontière mouvante de l’intime –, leur rapport au partage d’informations est lui aussi confus. Légalement et éthiquement. Soumises à un devoir de discrétion et non au secret professionnel stricto sensu, auxiliaires de vie et aides à domicile se retrouvent en terrain miné, parfois même en amont de l’accompagnement lorsque leur hiérarchie leur communique des informations médicales très précises. « Elles ne sont pas censées connaître les pathologies d’untel ou d’untel », estime la socio-anthropologue Laurence Hardy, habituée à travailler la notion…
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