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Etablissements et services : le travail de nuit reste un impensé

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Crédit photo Armandine Penna
« Electrons libres », « isolés », « invisibles »… Les travailleurs de nuit sont exposés à des risques sanitaires avérés tout en se trouvant, bien souvent, à l’écart du reste de l’organisation. Face à ces difficultés, les services de ressources humaines se penchent sur la question afin que les équipes de jour et de nuit puissent se rencontrer.

« Le travail de nuit peut altérer, de manière plus ou moins grave, la santé du salarié, allant de troubles du sommeil au risque de cancer ou encore à l’accident vasculaire cérébral », énonce l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), dans un de ses documents de prévention. Malgré ce constat alarmant, les établissements semblent encore peu nombreux à se pencher véritablement sur cette problématique. Une étude nationale de 2011 estimait à 40 000 le nombre de salariés travaillant de nuit dans la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée non lucrative dont 70 % dans le secteur des personnes âgées,…
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