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Catherine Galopin : “Les émotions ne se gèrent pas, elles se partagent”

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Membres de l’Association nationale des assistants de service social (Anas), Catherine Galopin (à gauche) et Alexandrine Laizeau (à droite) sont co-auteures de l’ouvrage Engager ses émotions dans la relation d’aide, éd. Presses de l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP).

Crédit photo DR
Très peu abordées dans la formation des travailleurs sociaux, les émotions sont pourtant au cœur de la relation d’aide comme le rappelle Catherine Galopin. D’où l’importance de les identifier et de les écouter pour en faire une force et donner du sens à l’intervention sociale.

Comment la question des émotions est-elle abordée dans le travail social ?

C’est précisément parce que ce sujet n’est pas vraiment abordé que ma collègue Alexandrine Laizeau et moi avons décidé d’écrire ce livre. On a partagé le même bureau pendant cinq ans et on a beaucoup parlé des situations que nous rencontrions, de la manière dont nous les vivions. Paradoxalement, on avait l’impression que c’était quelque chose qui restait entre nous. Ce n’était ni discuté, ni évoqué au niveau des équipes. Je ne sais pas comment le sujet est abordé dans les formations initiales aujourd’hui. Mais il y a une trentaine d’années,…
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