L’insertion professionnelle et le manque de loisirs « licites » sont au cœur d’un partenariat récemment noué entre le service pénitentiaire d’insertion et de probation (Spip) et l’unité départementale du Tarn-et-Garonne. Ils font partie des sept facteurs de risque de récidive « nécessitant une action approfondie ». C’est pourquoi, pendant un an, le département va proposer aux personnes suivies par l’administration pénitentiaire un programme d’accompagnement de huit semaines en moyenne fondé sur des activités à « dimension éducative et…
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