De 2002 à 2017, la part des Français adhérant à une association du champ social ou caritatif est passé de 4,6 % à 11,2 %, et de 0,9 % à 3,8 % dans le domaine de la santé. Mais ce triplement des effectifs ne dit rien sur leurs motivations, leurs modes d’investissement, la place que leur font les associations pour participer au développement de leur projet politique.
Voilà ce que tente d’interroger, sans prétendre apporter de réponse définitive, une étude publiée par le Centre de ressources des dispositifs locaux d’accompagnement (CRDLA) du champ social, médico-social et de la santé, porté par l’Uniopss…
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