Pas de sortie sèche… Le désormais ex-ministre du Logement Julien Denormandie l’avait promis le 2 juillet, huit jours avant la fin de la trêve hivernale : les personnes vivant à la rue et hébergées pendant la crise sanitaire ne devraient pas se retrouver sans solution, et les ménages en difficulté ne pas être expulsés sans proposition de relogement ; 3 000 ménages devaient se voir proposer un logement social. Dès le 3 juin, les préfets avaient reçu en ce sens des consignes par circulaire.
La volonté politique était affichée, martelée même, et bien peu mise en doute par les acteurs du secteur. Ceux-ci avaient salué les efforts réalisés pendant le printemps confiné, y voyant…
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