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Fin de l’état d’urgence : face au risque du sans-abrisme

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Le 10 juillet sonne le glas définitif de la trêve hivernale, deux fois prolongée pendant la crise sanitaire. En dépit de réels efforts, salués par les acteurs de l’hébergement d’urgence et de l’accompagnement vers le logement, nombre de personnes pourraient se retrouver sans solution.

Pas de sortie sèche… Le désormais ex-ministre du Logement Julien Denormandie l’avait promis le 2 juillet, huit jours avant la fin de la trêve hivernale : les personnes vivant à la rue et hébergées pendant la crise sanitaire ne devraient pas se retrouver sans solution, et les ménages en difficulté ne pas être expulsés sans proposition de relogement ; 3 000 ménages devaient se voir proposer un logement social. Dès le 3 juin, les préfets avaient reçu en ce sens des consignes par circulaire.

La volonté politique était affichée, martelée même, et bien peu mise en doute par les acteurs du secteur. Ceux-ci avaient salué les efforts réalisés pendant le printemps confiné, y voyant…
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