Les 35 mesures de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté sont inégalement déployées, selon le comité chargé de l’évaluation de l’action gouvernementale. L’impact des mesures mises en place sur les personnes précaires reste, pour l’heure, difficile à mesurer.
Pour la troisième fois, le comité d’évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté publie son rapport annuel. L’instance, présidée par Louis Schweitzer, ancien président du groupe Renault, est chargée de dresser un état des lieux de la mise en œuvre de cette stratégie.Premier constat : il existe des inégalités dans le déploiement des 35 mesures lancées par Emmanuel Macron en 2018. Si quatre mesures ont pleinement été mises en place (revalorisation de la prime d’activité, mise en œuvre de la complémentaire santé solidaire (CSS), renouvellement…
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