« Certains locaux prévus pour l’hébergement et la mise à l’abri des personnes et familles sans domicile fixe sont actuellement disponibles et leur ouverture reportée à la chute des températures », dénoncent, dans un communiqué commun en date du 12 décembre, huit associations*, dont la Fédération des acteurs de la solidarité, la Fondation de l'Armée du salut, Emmaüs solidarité ou encore le Samu social de Paris.
Comme fin novembre, les associations alertent sur le fait que 500 enfants restent chaque soir dans la rue à Paris « alors que la totalité des places prévues par l’État pour l’hébergement des sans-abri pendant l’hiver n’ont pas encore été ouvertes ». La situation est tout aussi critique en Seine–Saint-Denis, à Lyon ou Toulouse avec des drames humains inacceptables et indignes de la 7ème puissance économique mondiale : jeunes mères en sortie de maternité qui dorment à la rue ou dans des salles d’attente
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