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Handicap : deux mères lancent le mouvement #MeToosansvoix

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Grâce à la communication alternative et améliorée (CAA), les enfants non oralisants peuvent dénoncer les abus sexuels.

Crédit photo DR
Par manque d'outils de communication, de nombreux enfants handicapés moteurs ou polyhandicapés sont dans l'incapacité de dire qu'ils ont été sexuellement abusés. Face à cette réalité alarmante, le mouvement #MeToosansvoix brise le silence.
Parmi les 160 000 enfants qui subissent des violences sexuelles chaque année en France, à minima 7 680 sont en situation de handicap. Des chiffres très certainement en dessous de la réalité car de nombreuses agressions restent tues et donc non reconnues. Encore plus lorsqu’elles concernent des enfants non verbaux. Ces derniers ont en effet 3,5 fois plus de risques de subir des violences physiques ou sexuelles qu’un enfant oralisant.

Ne pouvant se résoudre à ce dramatique constat, deux mères d’enfants non oralisant ont lancé le mouvement #MeToosansvoix, il y a quelques semaines. « Ce sont des cibles de choix pour les agresseurs », alerte l’une d’entre elles, Khlidja B, militante au sein d’ISAAC francophone, l’association…
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