Qu’elles aient quitté un établissement ou qu’elles aient vécu déjà chez elles auparavant, les personnes handicapées pourraient subir sur le long terme des conséquences physiques, psychologiques et matérielles dues à la crise sanitaire. S’il est encore tôt pour en livrer une évaluation précise, leur existence ne fait aucun doute.
Plus d’une famille sur deux (54,4 %) se dit mécontente du suivi médical de son enfant pendant le confinement, et les trois quarts d’entre elles disent avoir assuré les soins rééducatifs. Voilà ce qu’expriment les 2 000 foyers qui ont répondu à l’enquête flash « Echo » menée par un regroupement d’associations (Fédération française des associations d’infirmes cérébraux, Fondation Paralysie cérébrale…), des établissements de soins et des sociétés de recherche sur le handicap.Même si la thématique est majeure, cette rupture dans la…
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