A l’heure de #MeToo et de la remise en cause du patriarcat, quels sont les ressorts des conduites violentes qui s’exercent dans l’intime ? Y a-t-il une logique unique ? Une surdétermination ? Sont-elles l’expression de la domination masculine qui a prévalu pendant des siècles ou, à l’inverse, le symptôme de rapports de genre moins institutionnels et plus égalitaires ? Autant de questions auxquelles une équipe de sociologues et de démographes de l’université de Bordeaux ont tenté de répond
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