Un coup de massue supplémentaire pour les acteurs du social et du médico-social. Tous dénoncent les coupes budgétaires annoncées par décret, jeudi 22 février, dont un milliard d’euros sur le dos du handicap, de la dépendance, de l’inclusion, de la vie associative ou encore de la protection judiciaire de la jeunesse.
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« Nous demandons depuis le départ que la fin du « quoi qu’il en coute » ne touche pas les personnes en situation de pauvreté. Hélas, nous constatons que les coupes des budgets de la solidarité, du logement ou du travail sont assez importantes. Par exemple, sur le volet de l’emploi, la ligne du gouvernement est pourtant très claire avec la volonté d’atteindre le plein emploi via France Travail. Dans ce
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