Une enquête, parue dans la revue scientifique The Lancet en décembre dernier, et dirigée par Jérémy Khouani, met en évidence une forte exposition aux violences sexuelles chez les femmes demandeuses d’asile arrivant dans le sud de la France. Les conditions d’accueil y jouent un rôle central.
Elle a prêté serment en septembre 2019. En à peine quatre ans, l’avocate lyonnaise Marie Sablon a fait des affaires d’inceste et des recours contre les placements abusifs sa spécialité. Un combat qui se joue autant à la barre des tribunaux que sur le plan des mentalités.
Cette enseignante spécialisée milite pour le respect du droit à la scolarisation des jeunes polyhandicapés et fait la classe à des enfants de 6 à 13 ans au Centre des possibles.
Les travailleurs sociaux devraient tous être dotés de connaissances juridiques pratiques afin d’apporter des réponses concrètes aux situations des personnes accompagnées et leur garantir l’accès à leurs droits fondamentaux.
Un homme seul, quittant son pays pour des raisons économiques ou politiques. Cette représentation de l’immigration a longtemps laissé dans l’ombre le parcours migratoire des femmes initié bien avant les politiques du regroupement familial des années 1970.
Les femmes représentent plus de la moitié des flux migratoires en Europe. Si des progrès ont été faits ces dernières années, les politiques d’accueil et d’intégration françaises omettent encore dans leurs plans d’actions les migrantes qui, à l’intersection des problématiques de genre et d’origine, sont dans l’angle mort des dispositifs d’aide.
A compter de 2025, la contribution des entreprises à l’Agefiph(1) passera à taux plein. Une sérieuse incitation aux employeurs à développer réellement l’inclusion.
Menacée de fermeture, la résidence autonomie de Sciecq, commune rurale près de Niort, accueille depuis fin janvier 15 mineurs non accompagnés (MNA), logés jusqu’alors à l’hôtel. Une première qui pourrait faire des émules tant l’expérience semble porter ses fruits.
Loin de l’image du thérapeute assis derrière un bureau, le psychologue de rue va à la rencontre des personnes en situation de vulnérabilité pour créer une relation et offrir à celles qui en ont besoin un accompagnement ajusté.