« Epuisés, oubliés et méprisés », les professionnels de la petite enfance ont manifesté le 31 mars à l'appel du SNPPE pour réclamer la « prime Ségur » qui leur a été refusée. Une mise à l’écart vécue comme « la goutte d’eau ».
Les professionnels de la petite enfance ont manifesté le 31 mars à l’appel du SNPPE (Syndicat national des professionnels de la petite enfance) pour dénoncer leurs conditions de travail, ainsi que « l’oubli et le mépris » de leur secteur par le gouvernenement et les candidats à la présidentielle. Avec un mot d’ordre sous forme de hashtag – #amavraievaleur – affiché également sur les tee-shirts des salariés…
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