Perdre son ou ses parents pendant l’enfance pose des problèmes spécifiques d’ordre juridique, psychologique, économique et social. Pourtant, les orphelins sont peu visibles car très peu étudiés. Et ceux confiés à un proche, appelé « tiers de confiance », encore moins.
Des enfants et des proches invisibles
Tel est le constat qui a présidé à l’étude de Bernadette Tillard, Coralie Aranda et Lucy Marquet, chercheuses au Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé), unité de recherche du CNRS.
Dans leur rapport, diffusé cette semaine par l’Onpe (Observatoire national de la protection de l’enfance), elles se penchent sur le parcours de ces enfants orphelins de père et/ou de mère en protection de l’enfance ainsi que sur les soutiens apportés aux personnes qui en ont la
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