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Intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie : les enseignements post-confinement

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Gendarmerie

Photo d'illustration

Crédit photo Frédéric Bisson- Flickr
Réalisée pendant le confinement, une enquête sur le retour d’expérience des intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie révèle plus de violences conjugales graves et de conflits familiaux. Et un bouleversement des pratiques.
Du 17 mars au 30 avril, l’Association nationale de l’intervention sociale en commissariat et gendarmerie (ANISCG) a voulu savoir comment les professionnels avaient vécu le confinement et quels étaient leurs retours d’expérience. Sur 281 postes identifiés sur tout le territoire, la moitié des ISCG (intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie) ont répondu. Il ressort que 93 % d’entre eux ont travaillé à distance : 7 998 entretiens ont été menés par téléphone avec le public, et seuls 203 ont été réalisés en présentiel.

Des tensions exacerbées

Que ce soit en gendarmerie ou en commissariat, l’enquête indique qu’il n’y a pas eu, en moyenne, d’augmentation des situations de violences…
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