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Pour Daniel Goldberg, « sans les associations, il n’y aurait pas de politique du handicap »

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Daniel Goldberg, président de l'Uniopss, estime que si les contrôles peuvent être justifiés dans les ESMS, ces derniers doivent surtout bénéficier de moyens supplémentaires.

Crédit photo DR
En réponse à la présentation de la stratégie nationale de lutte contre les maltraitances et au reportage diffusé la veille sur M6 portant sur « les dossiers noirs du handicap », le président de l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux) veut faire entendre la voix des structures associatives et réaffirmer leur rôle crucial dans l’accompagnement des personnes en situation de handicap.
A quelques jours du congrès de l’Uniopss (3 et 4 avril à Lyon), où seront présentes les ministres Catherine Vautrin (Santé, Travail et Solidarités) et Fadila Khattabi (Personnes âgées et personnes handicapées), son président Daniel Goldberg défend l’action des 25 000 établissements sociaux et médico-sociaux de cette union interfédérale. Il réaffirme en outre leurs besoins criants en termes de moyens financiers et humains.

 

ASH : Que vous inspire le reportage diffusé dimanche soir par M6 consacré…
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