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"Le reste à charge sur le CPF risque de restreindre l'investissement en formation" (David Cluzeau, Synofdes)

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David Cluzeau souligne notamment que" les entreprises avaient parfois recours (au CPF) pour compenser la diminution des fonds des Opco"

Crédit photo DR
Les salariés et les organismes de formation vont-ils devenir les "variables d’ajustement de l’Etat" après l'annonce gouvernementale d'un reste à charge de 10 % sur le CPF ?  "Une mauvaise idée" pour David Cluzeau, délégué général du Synofdès qui en souligne les conséquences pour les travailleurs sociaux.
Le couperet est tombé. Le montant du reste à charge sur le coût d’une formation CPF – c'est-à-dire la fraction que l’acheteur doit financer sur ses propres fonds – devait s’élever à 10% de son prix. La menace était dans les tuyaux depuis la loi de finances 2023 qui en avait fixé le principe, mais le tarif, lui, faisait l’objet d’incessants arbitrages entre Bercy et le ministère du Travail.

Cette décision, associée à l'annonce d’un nouveau rabotage des coûts-contrats, met les organismes de formation du travail social en danger, explique David Cluzeau,  délégué général…
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