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Éducation spécialisée : « l’intérim, une contestation invisible »

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Ressources humaines - A travers son enquête dans les foyers de l’enfance, Charlène Charles, docteure en sociologie, rend compte des conséquences – parfois paradoxales – du recours à l’intérim chez les éducateurs spécialisés. Signe de la précarisation du travail social ou reconfiguration du secteur ?

Actualités sociales hebdomadaires - Depuis quand et pourquoi les établissements sociaux et médico-sociaux ont-ils recours à l’intérim ?

Charlène Charles : Le phénomène date des années 2000. Il est donc assez récent, comparé à d’autres secteurs d’activité. Le recours aux intérimaires s’élève à 3,2 % – un chiffre inférieur à celui observé dans l’ensemble de l’économie – et concerne 3,7 % des éducateurs spécialisés. Néanmoins, le développement de l’intérim dans le travail social s’est multiplié par trois en quinze ans. La présence d’intérimaires varie selon les régions, mais les taux de recrutement les plus massifs se retrouvent en Ile-de-France et en Auvergne-Rhône-Alpes. Ces travailleurs

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