Elle tire son essence des pratiques ancestrales de certaines tribus africaines ou néozélandaises pour réguler les conflits. La justice restaurative est arrivée en France voilà une dizaine d’années. « Tout est parti d’une expérimentation de rencontres détenus-victimes menée à la maison centrale de Poissy en 2010. L’idée était de réunir, au sein de l’univers carcéral, un groupe de détenus et de victimes concernés par une infraction similaire dans le but d’offrir un espace d’échange, sécurisé par des instances tierces », retrace Nicole Tercq-Diriart, présidente de l’Institut français pour la justice restaurative (IFJR).
Objectif : permettre à toute personne, auteure ou victime, de dialoguer autour des répercussions liées à un délit. La présence d’un animateur est nécessaire afin de créer un cli
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