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Apprentissage et travail social : les trois conditions pour que ça marche

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Au CFA du social de l'IRTS Parmentier, une future CESF (à droite) avec sa matresse d'apprentissage.

Crédit photo CFA du social / AFRIS Parmentier
Depuis la loi du 5 septembre 2018, le secteur social et médico-social bénéficie d'une augmentation significative des contrats d'apprentissage. Si ce disposisitif permet de former de nouveaux professionnels à des métiers en forte tension, il nécessite d’être particulièrement encadré.
 
 

« L’apprentissage est le meilleur moyen de découvrir un métier. Je suis arrivé dans ce secteur sans aucune connaissance et, grâce à ce dispositif, je mets en pratique immédiatement ce que j’ai appris en cours. Inversement, je peux aussi théoriser ce que j’ai observé sur le terrain. Tout cela en étant rémunéré 80 % du Smic. C’est vraiment l’idéal. » Comme Gauthier Hémon, 25 ans, apprenti moniteur-éducateur en deuxième année au sein du CFA (centre de formation pour apprentis) du social de l’IRTS Parmentier, des milliers de jeunes choisissent chaque année l’apprentissage…
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