« Venir ici est comme une renaissance ! J’ai remis le pied à l’étrier. » Adeline Crépin a poussé la porte de Solid’Arté en juin 2022, après des années où s’étaient enchaînés les accidents de la vie et les passages à vide. Cette artiste qui dessine à l’encre et réalise des gravures, ne crée plus depuis près de huit ans. C’est Pôle emploi qui l’a orientée vers Solid’Arté, dont l’équipe compte trois salariés. « Une chance ! J’ai eu une bonne référente qui connaissait mon travail. Elle a vu dans l’art la voie qui me correspondait le mieux », confie cette mère de famille au RSA (revenu de solidarité active) depuis 2018. « Habituellement, on nous pousse plutôt à tourner la page. »
Sortie d’isolement
Adeline C, de son nom d’artiste, a trouvé chez Solid’Arté une émulation qui l’a so
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