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« Beaucoup rédigent leurs rapports soirs et week-ends »

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« Il y a onze ans, je passais la moitié de mon temps avec les jeunes. Aujour­d’hui, si je suis sept heures par semaine avec eux, c’est un maximum. » A la PJJ, l’ampleur des tâches administratives des éducateurs n’a fait que croître ces dernières années, suscitant un sentiment de perte de sens : « Notre travail, c’est d’aller voir le jeune chez lui, dans son environnement, qu’il apprenne à nous connaître et à nous faire confiance. Or nous n’en avons plus le temps. »

Chaque éducateur accompagne 25 jeunes. Au début du suivi, il remplit le dossier individuel de prise en charge (DIPC) avec les objectifs, puis le dossier commun de prise en charge (DCPC), qui est réactualisé après chaque réunion avec les partenaires (aide sociale à l’enfance, unité éducative d’activité de jour, mission locale). Il renseigne aussi l’application de gestion de l’activité et des mesures éducatives (Game), remplacée prochainement par le logiciel Parcours, qui sera partagé avec l’institution judiciaire et les partenaires des politiques de la ville. A cela s’ajoutent des rapports tous les six mois sur l’évolution de chaque jeune dans le cadre de mesu

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