« Je suis très heureux du succès de la commission mixte paritaire réunie sur le code de la justice pénale des mineurs », se réjouissait le garde des Sceaux, le 4 février dernier, sur Twitter. « Plus de 75 ans après l’ordonnance du général de Gaulle, la France va enfin se doter d’un nouveau texte clair, consacrant l’équilibre entre l’éducatif et le répressif. »
C’est justement ce point qui concentre les critiques et suscite les manifestations contre le code de la justice pénale des mineurs (CJPM), depuis sa présentation sous forme d’ordonnance par Nicole Belloubet, alors ministre de la Justice, en septembre 2019. Dans une tribune publiée le 1er décembre dernier sur le site de
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