« Les équipes sont mieux préparées, moins inquiètes quant à la manière de faire face. Nous avons appris à vivre avec le virus auquotidien. Ce que nous faisons dans ce cadre à titre individuel, conserver une distance par exemple, nous devons le reproduire au travail. » En ces premiers jours du deuxième confinement, Patrick Soria, directeur général de l’Adapei-Aria de Vendée, affiche une relative sérénité. Son association, qui gère 90 établissements pour personnes porteuses d’un handicap mental, a jusqu’ici évité tout cluster. « Les gestes barrières sont bien compris et appliqués », confirme Prosper Teboul, directeur général d’APF France handicap, qui ajoute que des leçons ont été tirées du premier confinement, en particulier en matière de solutions de répit pour les aidants.
Certes, selo
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