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Violences sexuelles : l'Education nationale veut faire preuve de vigilance et de discernement

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« La parole de l'enfant qui a trop longtemps été étouffée doit être entendue et écoutée et sa souffrance prise en compte, car c'est à partir de la sanction du crime ou du délit que peut s'opérer, pour la victime, un lent travail de reconstruction. »

Partant de ce constat, Claude Allègre, ministre de l'Education nationale, et Ségolène Royal, ministre déléguée chargée de l'enseignement scolaire, ont adressé aux responsables d'académies une circulaire détaillée sur la conduite à tenir au cas où un élève est victime de violences sexuelles.

Ainsi, quand les faits sont relatés par la victime directe, le fonctionnaire doit informer sans délai le procureur de la République, que l'adulte responsable de violence soit un enseignant ou une personne extérieure. L'agent doit également agir et informer l'inspection académique en cas de signes de souffrance de l'enfant, de témoignages indirects ou de rumeur « même si la situation est infiniment plus délicate dans cette dernière hypothèse ».

En effet, les ministres appellent à la prudence : « A une trop longue période de dénégation de la pédophilie ne doit pas [...] se substituer l'ère du soupço

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