Recevoir la newsletter

« Repérer les hiatus entre la façon dont le logement est conçu et celle dont il va être investi » (Nina Testut, ethnologue)

Article réservé aux abonnés

hands holding paper house, family home, homeless housing and home protecting insurance concept, international day of families, foster home care, homeschooling, social distancing

Photo d'illustration.

Crédit photo sewcream - stock.adobe.com
Pour vérifier « l’impact concret de son action », la Fondation Abbé-Pierre a conduit une évaluation de son programme Toits d’Abord, destiné à lutter contre le mal-logement. Si le dispositif rempli son objectif premier, certains axes d’amélioration restent possibles, nous explique Nina Testut, ethnologue et co-autrice de l'étude.
Votre étude croise le regard des habitants qui vivent dans les logements soutenus par le dispositif Toits d’Abord et celui des professionnels qui portent le projet. Quel est l’intérêt de ce « double cheminement » ?

Nous avons voulu observer les deux « pôles » de ce même dispositif. D’un côté, il y a les associations qui produisent du logement en faisant face à des contraintes de budget, de bâti, de ressources humaines… et à l’autre bout de la chaîne, il y a l'habitant. Et entre les deux se trouve le logement. L’intérêt de croiser les regards est de repérer les éventuels…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Insertion

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur