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Le remplacement d’un salarié absent comme principal motif de recours aux contrats très courts

Une enquête "Offre d’emploi et recrutement" de la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES), publiée le 19 avril, indique que le principal motif de recours aux contrats très courts chez les employeurs du secteur de l’hébergement médico-social, ainsi que de l’action sociale sans hébergement est le remplacement d’un salarié.

De même que chez 60 % des employeurs français, le remplacement d’un salarié absent est le principal motif de recours aux contrats très courts pour les établissements des secteurs de l’activité pour la santé humaine, de l’hébergement médico-social et social, et de l’action sociale sans hébergement C’est ce que révèle une étude de la DARES, réalisée en 2016 et publiée le 19 avril.

Si cette justification est très largement invoquée (dans 90 % des cas), il arrive aussi que le recrutement intervienne dans le cadre d’un accroissement temporaire d’activité (7 %), si l’activité est saisonnière ou occasionnelle (2 %), ou encore si l’emploi est temporaire par nature (1 %).

La probabilité de transformer l’essai est, elle, très faible. Le pourcentage de chances de se voir proposer un CDD plus long, ou un CDI, après un CDD très court n’est que de 1, 4 % dans les secteurs de l’hébergement médico-social et social, et de l’action sociale sans hébergement. Dans celui des activités pour la santé humaine, il est de 1, 1 % pour une conversion en CDD, de 1, 5 % pour une conversion en CDI.

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