Quelques annonces, mais peu d’engagements fermes. Les 35 associations, fédérations et réseaux de lutte contre la pauvreté et l'exclusion (ATD quart-monde, Secours catholique, Uniopss, Médecins du monde, FAS, etc.), invitées le 3 juin par Catherine Vautrin à un point d’étape sur le « pacte des solidarités », seront en partie restées sur leur faim. C’était d’ailleurs la première fois que l’exécutif réunissait les parties prenantes du pacte depuis l’entrée à Matignon de Gabriel Attal. Déception : contrairement à la « tradition » initiée par Jean Castex et poursuivie par Elisabeth Borne, ce n’était le Premier ministre en personne qui présidait la séance mais sa ministre chargée du Travail, de la Santé et des Solidarités.
Changement de braquet social
L’occasion de l’alerter sur « la dégradation de la note
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