Pendant de longs mois, les associations avaient alerté sur la dangerosité des dispositions de la loi « Asile et immigration » du 26 janvier 2024, dite « loi Darmanin ». Un an après, ses conséquences se font déjà sentir sur les personnes exilées et le travail des associations. Le 28 janvier 2025, une trentaine d’entre elles – dont La Cimade et Médecins du monde –, de syndicats et de collectifs de personnes exilées ont dressé un premier bilan des mesures appliquées – une partie d’entre elles ayant été censurées par le Conseil constitutionnel, et d’autres n’ayant pas encore fait l’objet de décrets d’application. Elles déplorent « qu’aucune disposition n’a été prise pour améliorer [l’]intégration » des personnes exilées.
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La loi Darmanin a abrogé des protections prévues dans le code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d
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