Chargée de mission Réfugiés et Migrants à la FAS, Adèle Croisé a participé à l'élabaration des recommandatations au sujet de la santé mentale. Elle décrypte les principaux enjeux en la matière.
ASH : En quoi les conditions d’accueil des personnes réfugiées participent-elles de la dégradation de leur santé mentale ?
Adèle Croisé : Il faut d’abord rappeler que la santé mentale a été élue grande cause de l'Etat en 2025. Pourtant, on a du mal à voir des mesures concrètes, a fortiori pour les personnes réfugiées. Le programme d'accompagnement global et individualisé des réfugiés (AGIR) mis en pl
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