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“Le “désaccueil” des réfugiés en France aggrave leur état de santé mentale”

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Selon la FAS, près de 100 % des femmes migrantes ont notamment vécu des violences sexuelles et de genre.

Crédit photo La Neve Adobe stock
[INTERVIEW] Alors que 41 % des personnes réfugiées accompagnées par le programme AGIR (emploi et logement pour les réfugiés) déclarent avoir des problèmes de santé mentale un an après leur admission au séjour, la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) publie des premières préconisations. Un rapport complet sera présenté le 18 novembre 2025.

Chargée de mission Réfugiés et Migrants à la FAS, Adèle Croisé a participé à l'élabaration des recommandatations au sujet de la santé mentale. Elle décrypte les principaux enjeux en la matière.

ASH : En quoi les conditions d’accueil des personnes réfugiées participent-elles de la dégradation de leur santé mentale ?

Adèle Croisé : Il faut d’abord rappeler que la santé mentale a été élue grande cause de l'Etat en 2025. Pourtant, on a du mal à voir des mesures concrètes, a fortiori pour les personnes réfugiées. Le programme d'accompagnement global et individualisé des réfugiés (AGIR) mis en pl

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