Quelques gouttes de pluie résonnent sur le toit de l’ancienne usine. A l’intérieur, tout est encore calme. De temps en temps, un aboiement étouffé parvient de l’un des chalets en bois clair aux contours bleus. « Ici, personne n’est très matinal », sourit Florent Triquigneaux, chef de service de Zone libre. Il faut dire que les heures de sommeil comptent double : la plupart des habitants n’avaient pas de toit au-dessus de leur tête avant d’arriver là. |
Le projet Zone libre est né il y a trois ans. Fin 2020, l’association Alynea a proposé de créer un lieu de vie semi-collectif se fondant sur des formes d’habitat moins « traditionnelles », pour un public exclu ou refusant les dispositifs existants. Six mois plus tard, neuf chalets en bois de 24 m² avec t
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?