Dans son rapport rendu public le 17 juin, la Cour des comptes passe au crible le fonctionnement de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru). La gestion des coûts sur le long terme, l’optimisation du système d’information et la mise en place d’un système de contrôle étatique efficace doivent être améliorées.
A la suite de la saisine du président de la commission des finances du Sénat en décembre 2018, la Cour des comptes a rendu public, ce 17 juin, son rapport sur l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et la mise en œuvre de son programme national pour la rénovation urbaine (PNRU) ainsi que de son Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU). En plus de l’examen des exercices comptables de 2014 à 2018, le rapport indique que « les données relatives aux activités opérationnelles de l’agence actualisées à mars 2020 » ont aussi été recensées, dans la mesure du possible.L’étude révèle…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?