Le choix de l'exécutif de réduire le recours à ces emplois subventionnés dès le second semestre 2017 a soulevé une nouvelle vague de protestations.
Sans les contrats aidés, "beaucoup d’associations mais aussi de collectivités locales ou d’entreprises ne pourraient mener à bien leurs activités". L'avertissement est lancé par sept organisations (Fédération des acteurs de la solidarité, APF, ATD Quart-monde, Coorace, Emmaüs France, Secours catholique, Uniopss) dans un communiqué commun du 24 août. Décrivant "un coup de massue pour l'emploi des plus précaires", elles s'élèvent contre une décision dont "l'impact social et économique" risque d'être "désastreux".La limitation drastique des contrats aidés figure parmi les mesures d'économie annoncées pour la fin 2017. Mais les contours de cette réduction restent flous et mouvants. "Près de 310 000 contrats aidés" "seront disponibles au total pour l'année 2017", écrit la direction générale de l'emploi et de la formation professionnelle (DGEFP) dans une instruction adressée le 18 août aux préfets, divulguée par l'AFP. Puis, le 24 août, le Premier…
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