« La crise a énormément soudé les équipes, même si les cadres ont travaillé presque sept jours sur sept pendant trois mois au début, reconnaît volontiers Didier Lucas, directeur de l’Ehpad La Rouvière, à Soubès, dans l’Hérault. J’ai voulu mettre l’équipe administrative en télétravail mais ils n’ont pas voulu. Ils voulaient être dans l’action et je n’ai pas insisté, car on avait besoin d’eux. » Cet établissement public territorial a fermé dix jours avant l’obligation ministérielle. Les résidents et membres du personnel ont alors commencé à vivre de façon singulière.
De cette expérience, Didier Lucas…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?